Qualifying School - DPWorld Tour 2022

Il semblerait que ça se complique en Espagne. Avec une bonne dose de chance, Bidou pourrait récupérer un strapontin sur le DPWT.

Sofewwords a écrit:Il semblerait que ça se complique en Espagne. Avec une bonne dose de chance, Bidou pourrait récupérer un strapontin sur le DPWT.

C'est pratiquement fait, faudrait un gros concours de circonstances pour qu'il sorte des 25.
Par contre Stal a du mal à finir.... Il est pas loin de la ligne

C'est fait pour les 5 !!! Magique !


Bravo Messieurs !!!

Damien a écrit:C'est fait pour les 5 !!!  Magique !


Bravo Messieurs !!!  

5 sur 7 

duc a écrit:

Damien a écrit:C'est fait pour les 5 !!!  Magique !


Bravo Messieurs !!!  

5 sur 7 

Mais carrément, dommage pour Bérardo qui ne joue que dans le Par, pas suffisant. 
Mais 5/7 c'est un bon cru

Le grosse désillusion de ces Qualifying School côté français restera l'échec de Ben Hébert.
Espérons qu'il va s'en remettre.
Dans une moindre mesure , on pourrait y ajouter également Robin Roussel.

Concernant Paratore, il échoue de nouveau pour presque rien mais avec le 1er spot de la catégorie 18, il devrait jouer presque autant que les derniers du top 25 des PQ3.

Tu sens que les mecs en ont ch** !

Sympa les réactions après les PQ3 !!!!
La voix off, en revanche, a encore un peu de boulot
Merci Damien

Sofewwords a écrit:La voix off, en revanche, a encore un peu de boulot

Interview de Mike après les cartes !
https://www.ffgolf.org/Elite/Circuits-pro-masculins/DP-World-Tour/Calendrier/2022/Qualifying-School-Final-Stage/Michael-Lorenzo-Vera-J-ai-juste-gagne-le-droit-de-recommencer


Toujours intéressant !

Extrait :

Comment vous êtes-vous senti au fur et à mesure que les journées passaient ?
Je me suis senti de plus en plus stressé, tout simplement ! (rires) Et pas à chaque journée qui passait, mais à chaque heure ! C'était vraiment stressant, mais j'ai abordé ces cartes complètement différemment de celles que j'ai jouées par le passé. Avant, je me disais qu'en six jours, j'avais le temps de construire. Là, dès le premier putt du premier trou, je me suis dit que celui que je rentrais maintenant, je n'aurais peut-être pas à le rentrer à la fin. Donc j'ai inversé ma manière de voir les choses, et c'est passé. Je n'ai pas été plus agressif dans le jeu, mais j'ai été tout de suite plus exigeant. Car à la fin, avec six tours dans les pattes, c'est compliqué de répondre à ses des exigences élevées. Je ne sais pas s'il y a eu beaucoup de mecs qui ont fini birdie, par, birdie, pour passer dans les 25... Le classement ne bouge plus trop après quatre jours, donc c'est peut-être arrivé, mais pas beaucoup à mon avis. Par ailleurs, je tiens à remercier la fédération en général, et en particulier Agnès Sallandrouze, le Dr Olivier Rouillon et Sébastien Vivé, qui ont tenu la Maison France. Quand ça a commencé à tirer mentalement, pouvoir aller là-bas se faire masser, discuter de tout et de rien, manger un bon repas, c'était précieux. C'est une des raisons pour lesquelles j'ai réussi ma semaine.